Cliquer pour agrandir... Comédie historico-policière en quatre actes, huit intermèdes et un épilogue
de Jean-Luc Gag

Création et
dernière représentation : 2006

Durée : 2 h 05

25 mars 1668, monastère de Laghet… C’est une drôle d’histoire dans un étrange pays. Il était une fois, dans un monastère de Laghet tout neuf, un père-abbé malheureux, un frère bizarre, un enquêteur malin qui s’appelle Innocent, un bambin Jésus en or massif, des pèlerins hétéroclites, des ex-votos inattendus, une princesse mystérieuse et, au loin, un duc de Savoie sourcilleux.

Il y a aussi des échecs, un miracle et une Vénus. Le bambin Jésus disparaît. L’a-t-on volé ? Et si oui, qui ? C’est une drôle d’histoire dans un étrange pays, cet étrange pays qu’est le comté de Nice et où, au XVIIe siècle, un Savoyard parle français et italien mais ne comprend pas bien le niçois tandis que les Niçois parlent niçois et comprennent l’italien et le français et qu’un Français ne parle que le français.

Décidément, c’est une bien étrange histoire dans un drôle de pays !

Spectacle à 13 personnages :

Les moines : Frère Beat (gardien de la chapelle), Mgr Barullaz (Abbé de Laghet), Frère Innocent (archiviste de Laghet)

Les pèlerins : Le Français (marchand), Le vieux, Lou Sant-Frust, La belle, La grand-mère, L'aveugle, La pichouna, Le pénitent, Le muet 

La Princesse (noble de la cour à Turin)

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Cliquer pour agrandir... Comédie ribassiéroise
de Francis Gag

Création : 1936

Dernières représentations : 2014

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Durée : 2 h 15

A Ribassière, village imaginaire, le secrétaire de mairie découvre au cours de ses recherches qu'un trésor a été enfoui par les anciens habitants du village sur les terres de la commune. Lors de l'annonce au Conseil municipal, éclate un conflit entre le maire et son premier adjoint pour la possession de ce trésor, conflit qui menace l'union de leurs deux enfants. Mais point de trésor...
Grâce au jeu de la Pignata, les deux ennemis se réconcilient... et le mariage aura bien lieu.

"Les tréteaux étaient dressés à l'intention des musiciens sur la placette enguirlandée de feuillage où se déroulaient les jeux traditionnels, dont le jeu de la Pignata. Il s'agit d'une marmite - pignata - suspendue à une corde tendue au milieu de la placette qu'un joueur armé d'un bâton, les yeux bandés, s'efforce d'atteindre. Cette marmite peut, selon les cas, contenir un écu, ou de la farine, ou un pigeon ou bien encore être remplie d'eau, de friandises, de sciure ou de cendres ! C'est une chance, un risque à courir.
C'est en assistant à ce jeu que l'idée me vint d'en faire le point de départ d'une pièce de théâtre où l'on verrait les habitants du village de Ribassière divisés en deux clans et se disputant farouchement la possession d'une marmite, découverte dans le souterrain du château seigneurial."

in Nice au fil des jours et des saisons,
Francis Gag à la rencontre de ses souvenirs

Francis Gag et Françoise Arnulf - Ed. Alp'azur

Spectacle à 23 personnages : Barnabèu Sambluquié (Maire de Ribassièra), Jacìntou Sambluquié (son neveu), Rousalìa Sambluquié (sa femme), Janetoun Sambluquié (sa fille), Ludovic Cardella (adjoint), Jouselet Cardella (son fils), Doun Gregori (curé), Lou rimaire, Bertoumiéu, Sandribèrou, Ambroi, Frederì, Jousé, Estèu (conseillers municipaux), Babelin, Liseta, Finoun, Nanoun, Touaneta (paysannes), lu paisan.

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Cliquer pour agrandir... Comédie dramatique
de Francis Gag

Création : 1934

Dernière représentation : 2010

Durée : 1 h 05

Ensin va la vida, née au milieu des accords de luth, se présente comme une comédie alliant la mélancolie, le rêve et le comique : du rire aux larmes, en somme.

Mestre Andriéu Calambre, luthier, a deux enfants : Peire poursuit des études de peintre ; Miquèu est rêveur et poète. Tous deux sont amoureux de Mieta, adoptée par les Calambre et vivant sous leur toit. Mieta se marie avec le peintre et part vivre à Turin. Au décès de celui-ci, elle refusera l'amour de l'autre frère et retournera vivre à Turin. Madalin, fille de mestre Garibo, leur voisin, espère que le départ de Mieta lui apportera l'amour de Miquèu dont elle est amoureuse depuis toujours.

"Cette fois, c'était uniquement du Gag, trempe d'esprit et trempe d'âme. Selon sa propre sensibilité, il faisait aimer, il faisait souffrir, et tout ce qu'il donnait était sa chair vive. Présenter une comédie dramatique à Nice, où l'on n'avait jamais accueilli que la farce, où l'on prétendait se distraire dans une langue faite pour la joie, périlleuse tentative ! Il fut récompensé par un triomphe et ceux venus pour rire s'en retournaient les yeux humides."

Nouno Judlin

 

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Spectacle à 7 personnages : Andriéu Calambre (maître-luthier), Maire Nourina (sa femme), Peire et Miquèu (leurs fils), Mieta (leur fille adoptive), Serafin Garibo (professeur de dessin), Madalin (sa fille).

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Cliquer pour agrandir... Comédie monacale
de Francis Gag
Création : 1937
Dernière représentation : 2013
Durée : 2 h 05

Le sujet de cette comédie est tiré d'une nouvelle d'A. Lacoste, dans son ouvrage : "Nice, à travers les âges - Chroniques et légendes". Il nous y est dit qu'en 1555, lorsque les moines de Saint-Barthélémy furent autorisés à réédifier leur sanctuaire ruiné par les Turcs qui avaient campé dans leur voisinage pendant le siège de 1543, les Bénédictins ne firent aucune difficulté pour leur abandonner, gratuitement, le terrain sur lequel ils firent élever leur nouveau cloître.
L'abbé s'était toutefois réservé un droit d'hommage singulier : chaque année, à l'anniversaire de leur fête patronale, les Capucins étaient tenus d'apporter à Saint-Pons une barrique d'eau bénite, laquelle était généreusement remplacée par une barrique de vin de messe, récolté sur les domaines des opulents Bénédictins. Voilà pour la coutume.
Cependant, des documents irréfutables prouvent qu'il y eut non point donation, mais cession entre les Bénédictins de Saint-Pons et l'Ordre des Frères Franciscains de l'Observance. Toutefois, Francis Gag avoua qu'il a préféré s'en tenir à l'affabulation fantaisiste et vagabonde d'A. Lacoste : à dire vrai, l'itinéraire décrit par lui faisant mieux son affaire.
En effet, quitter le couvent au lever du jour, gagner le Paillon, le longer jusqu'à Saint-Pons en faisant rouler une barrique d'eau bénite, puis, regagner Saint Barthélémy en passant par Cimiez, en poussant une autre barrique de même contenance, mais emplie, cette fois, d'un délectacle vin de messe, tout celà conduit sous un implacable soleil d'août, voilà qui constitue un rude voyage en perspective, fertile en péripéties et en tentations de toutes sortes, pour peu que la fatalité, ou le démon, s'en mêlent !

Spectacle à 8 personnages :
Les capucins : Mounsignour Tadèu (Supérieur du Monastère de St-Barthélémy), Fraire Ilarioun, Fraire Gregori,
Fraire Bouònaventura, Fraire Mansuet, Fraire Crisostòmou ;
Les bénédictins : Mounsignour Serafin (Supérieur du Monastère de St-Pons), Fraire Eliacin (caviste du Monastère de St-Pons).

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